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Pierrette ­Robitaille ­profite d’un peu de repos avant la ­rentrée. «En septembre, on lance le film Vic + Flo ont vu un ours.»
  • Pierrette ­Robitaille ­profite d’un peu de repos avant la ­rentrée. «En septembre, on lance le film Vic + Flo ont vu un ours.»
    Photo le Journal de Montréal, Ghyslain Lavoie
Martin Rouette
  • Martin Rouette
    Photo le Journal de Montréal, Ghyslain Lavoie
Serge Postigo.
  • Serge Postigo.
    Photo le Journal de Montréal, Ghyslain Lavoie
Le magicien Luc Langevin.
  • Le magicien Luc Langevin.
    Photo le Journal de Montréal, Ghyslain Lavoie
Gilbert Rozon.
  • Gilbert Rozon.
    Photo le Journal de Montréal, Ghyslain Lavoie
Le metteur en scène Harald Fuß dirige huit artistes. Chaque geste est minutieusement ­calculé, et tout mauvais mouvement peut ruiner la projection.
  • Le metteur en scène Harald Fuß dirige huit artistes. Chaque geste est minutieusement ­calculé, et tout mauvais mouvement peut ruiner la projection.
    Photo le Journal de Montréal, Ghyslain Lavoie
Die Mobilés est prète à relever tous les défis! «On n’accepte pas les limites. On essaie toujours de créer du nouveau», a mentionné Michaela Köhler-Schaer.
  • Die Mobilés est prète à relever tous les défis! «On n’accepte pas les limites. On essaie toujours de créer du nouveau», a mentionné Michaela Köhler-Schaer.
    Ghyslain Lavoie / JdeM
René Richard Cyr était de passage en ville. «Je suis ­toujours en campagne. Alors j’en profite pour venir voir le spectacle.»
  • René Richard Cyr était de passage en ville. «Je suis ­toujours en campagne. Alors j’en profite pour venir voir le spectacle.»
    Photo le Journal de Montréal, Ghyslain Lavoie
La ravissante Amélie B. ­Simard est venue admirer le talent de la troupe allemande, fondée en 1979.
  • La ravissante Amélie B. ­Simard est venue admirer le talent de la troupe allemande, fondée en 1979.
    Photo le Journal de Montréal, Ghyslain Lavoie
C’est la curiosité qui a mené Élaine Ayotte à la première du spectacle. «C’est original, poétique et ­ludique. Les œuvres qui viennent ­d’Allemagne sont généralement assez étonnantes.»
  • C’est la curiosité qui a mené Élaine Ayotte à la première du spectacle. «C’est original, poétique et ­ludique. Les œuvres qui viennent ­d’Allemagne sont généralement assez étonnantes.»
    Photo le Journal de Montréal, Ghyslain Lavoie
«On profite de nos ­journées de congé pour venir voir les autres spectacles présentés au festival», ont mentionné Alexia Gourd, Éric Lussier et Marina Bastarache, de la distribution d’Hairspray.
  • «On profite de nos ­journées de congé pour venir voir les autres spectacles présentés au festival», ont mentionné Alexia Gourd, Éric Lussier et Marina Bastarache, de la distribution d’Hairspray.
    Photo le Journal de Montréal, Ghyslain Lavoie
Danielle Ouimet assistait au spectacle en compagnie de sa nièce, Valérie Ouimet ­Chiriaeff. «J’écris mon troisième livre en ce moment. Ça m’occupe beaucoup.»
  • Danielle Ouimet assistait au spectacle en compagnie de sa nièce, Valérie Ouimet ­Chiriaeff. «J’écris mon troisième livre en ce moment. Ça m’occupe beaucoup.»
    Photo le Journal de Montréal, Ghyslain Lavoie
«C’est le premier été que je ne joue pas dans une ­comédie musicale. Alors, je viens voir les shows», a confié Émily Bégin, qui a pris la pose avec Maxime Le Flaguais.
  • «C’est le premier été que je ne joue pas dans une ­comédie musicale. Alors, je viens voir les shows», a confié Émily Bégin, qui a pris la pose avec Maxime Le Flaguais.
    Photo le Journal de Montréal, Ghyslain Lavoie
Jérémy Demay ne chôme pas! L’humoriste, qui présente d’hilarantes capsules aux ­côtés de Gilbert Rozon à Juste pour rire en direct, est venu voir le spectacle en compagnie de son frère, ­Benjamin.
  • Jérémy Demay ne chôme pas! L’humoriste, qui présente d’hilarantes capsules aux ­côtés de Gilbert Rozon à Juste pour rire en direct, est venu voir le spectacle en compagnie de son frère, ­Benjamin.
    Photo le Journal de Montréal, Ghyslain Lavoie
«Je n’avais ­jamais entendu parler d’eux. Alors, je suis ­curieuse de ­découvrir leur travail», a mentionné Brigitte Paquette.
  • «Je n’avais ­jamais entendu parler d’eux. Alors, je suis ­curieuse de ­découvrir leur travail», a mentionné Brigitte Paquette.
    Photo le Journal de Montréal, Ghyslain Lavoie
La vie montréalaise

Entre l’ombre et la lumière

M-F Pellerin
MISE À JOUR

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Les jeux d’ombres existent depuis la nuit des temps. Or, c’est une version bien moderne du théâtre d’ombres que Die Mobilés présentait hier en grande première au Théâtre St-Denis. La troupe allemande allie danse, acrobatie et mime afin de créer différentes formes ultra-réalistes. Gilbert ­Rozon a craqué pour son savoir-faire, qui lui a ­d’ailleurs valu la victoire lors de la septième saison de La France a un incroyable talent.

«Ç’a été super pour nous. Nous avons remporté 100 000 euros. Cet argent nous permet de présenter notre pièce ici», a expliqué Michaela Köhler-Schaer, ­codirectrice de Die Mobilés. La troupe proposera donc jusqu’au 20 juillet une heure d’ombres et d’émotions. «C’est une prestation très magique et poétique. Nous racontons une histoire d’amour tout en voyageant à travers le monde. Nous avons poussé plus loin le ­théâtre d’ombres: nous utilisons tout le corps. Nous créons des images que nous ne pourrions produire ­simplement avec les mains.»

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