L’islamisme et les mosquées
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À chaque fois que la violence islamiste fait des victimes, il y a toujours des porte-paroles musulmans pour se dissocier avec vigueur de ces tueries. Le discours est toujours le même: « l’Islam est une religion d’amour, de paix et de tolérance»; et aussi «que ce n’est pas ça l’Islam».
Le ça désignant les meurtres de mécréants, les décapitations de chrétiens et tous les actes terroristes perpétrés au nom d’Allah.
En entendant ces propos, les citoyens trouvent ces émissaires sincères et passent à autre chose. Il y a pourtant des questions à se poser sur ces déclarations qui ont l’air si crédibles.
Des questions pertinentes
Il existe au Québec deux sites internet qui les posent, ces questions, et qui trouvent des réponses. Ce sont Point de Bascule et Poste de Veille. Je vous le dis tout de suite, les médias bien pensants jugent ces sites islamophobes et infréquentables.
Moi, je les fréquente et non seulement ils posent des questions pertinentes, mais ils ont aussi des réponses fondées et documentées.
Par exemple, le Conseil Musulman de Montréal, qui déclare représenter 70 institutions de la région métropolitaine, est une organisation proche des Frères Musulmans qui prêche le djihad dans les mosquées d’Égypte et de Gaza (le Hamas étant une filiale des Frères). Le Conseil est dirigé par Salam Elmenyawi, un disciple du guide spirituel des Frères Musulmans, Youssef Qaradawi.
Pour Qaradawi, la mosquée est «le centre de la révolution islamique» et il ajoute qu’elle «doit jouer un rôle important pour encourager le djihad dans le sentier d’Allah». N’est-ce pas très clair?
Un autre exemple: Islamic Society of North America et Muslim Association of Canada sont les principaux propriétaires d’édifices où se retrouvent des mosquées et des centres islamiques au Québec et au Canada.
ISNA vient de perdre son statut d’organisme de bienfaisance. Le motif: elle finançait le terrorisme. Quant à l’autre, elle aussi, par le biais d’un organisme collecteur de fonds, IRFAN, soutenait financièrement le Hamas, entité terroriste qui gère «l’admirable-démocratie-de-la-bande-de-Gaza».
Des faits troublants
On pourrait multiplier les faits dans toute leur splendeur. Il existe toutes sortes de ramifications, d’interconnexions et d’imbrications entre beaucoup d’organisations musulmanes et le terrorisme islamiste. Les deux sites, Point de Bascule et Poste de Veille, ne cessent de mettre en lumière ces accointances malsaines.
Et pour ce qui est des Imams prêcheurs dans les mosquées, l’ex-députée libérale, Fatima Houda-Pépin nous révèle qu’il y en a «des dizaines et des dizaines», tous fervents adeptes de l’application intégrale de la Charia pure et dure. Leur obscurantisme délirant, leur furieuse misogynie, leur haine de la démocratie et leur mépris des droits de la personne imprègnent leur prédication.
Qu’est-ce que l’État attend pour à la fois scruter les sources de financement des mosquées et l’allégeance des Imams envers des brigades djihadistes et des pays qui, tels le Qatar, l’Iran, l’Arabie Saoudite, la Turquie, cautionnent et propagent la barbarie islamiste?
Un État démocratique responsable ne peut pas laisser une telle infection se développer. Ça pourrait commencer par le renvoi dans son pays d’origine de la musulmane qui veut prêter serment «masquée».