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«Ç’a été un peu plus compliqué que je le souhaitais» - Frédéric Plesius

Frédéric Plesius
Photo d’archives, Stevens Leblanc Frédéric Plesius

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MONTRÉAL – Lorsqu’il s’est amené avec les Alouettes pendant la saison morte, Frédéric Plesius espérait donner un second souffle à sa carrière. S’il se dit heureux de jouer à Montréal, l’ancien du Rouge et Or de l’Université Laval aimerait contribuer davantage en défensive.

Depuis le début de la saison, le colosse de 6 pi 1 po et 234 lb a majoritairement été utilisé au sein des unités spéciales sur lesquelles il a amassé quatre plaqués.

«Je suis super content d’être ici, a avoué avec honnêteté Plesius. C’est vraiment avantageux pour moi d’être à la maison et de rester proche de ma famille. C’est comme si je ne travaillais pas. En ce moment, je trouve que j’ai la meilleure "job" au monde.»

Rien de parfait

Même le meilleur emploi au monde vient parfois avec des aspects plus négatifs et pour Plesius, il s’agit de devoir observer ses coéquipiers en défensive depuis les lignes de côté.

«Ç’a été un peu plus compliqué que je le souhaitais. C’est certain que je m’attends à jouer plus en défensive. Je sais que je suis capable de très bien performer et d’être un joueur-clé, même de niveau élite.»

«En ce moment, j’ai tous les aspects que ça prend pour jouer en défensive. J’ai tous les atouts», a admis avec confiance le numéro 33.

S’il n’a aucun doute dans son esprit qu’il est capable de faire le travail, il doit maintenant convaincre ses entraîneurs de la même chose.

«Je ne sais pas vraiment ce qui se passe en ce moment. Plusieurs personnes autour de moi me demandent pourquoi je ne joue pas et qu’il y a beaucoup de secondeurs canadiens qui jouent dans les autres équipes.»

«Ce que je peux contrôler, c’est de jouer au football à 100 % et quand le temps viendra, je devrai être prêt à performer. Je commence à être un peu impatient, c’est certain, mais le temps viendra.»

Habitué de contribuer

Lorsqu’il portait les couleurs du Rouge et Or de l’Université Laval, Plesius était un élément-clé de la défensive dirigée par Marc Fortier. Pour l’instant, le sympathique secondeur attend simplement la chance de répéter ses exploits.

«Bientôt ce sera comme dans le temps. Une interception ramenée pour un touché», a lancé à la blague Plesius en faisant référence à l’interception qu’il avait ramenée pour un touché lors de la Coupe Vanier de 2011 que les siens avaient perdue, en prolongation, par la marque de 41-38, face aux Marauders de McMaster.

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