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Bienvenue aux îles Caïmans

Bienvenue aux îles Caïmans
Photo Véronique Leduc

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GEORGE TOWN, Grand Cayman | Entre l’Amérique centrale et la Jamaïque, juste en dessous de Cuba, se trouve un minuscule archipel où la mer est plus belle que partout ailleurs, où l’on mange aussi bien que dans les grandes capitales et où se rencontrent les cultures du monde entier. Bienvenue aux îles Caïmans. 

Avant même d’embarquer dans l’avion vers Grand Cayman, la table est mise. À l’aéroport, devant la porte d’embarquement, des présentoirs offrent gratuitement des magazines de grande qualité, vantant tantôt la cuisine, tantôt l’immobilier, tantôt les activités à faire aux îles Caïmans. C’est qu’il y a de l’argent aux îles et que ceux qui y habitent sont fiers de leurs beautés.

L’hôtel Kimpton Seafire à Grand Cayman.
Photo courtoisie
L’hôtel Kimpton Seafire à Grand Cayman.

« Il n’y a pas vraiment de “locaux” ici », vais-je entendre à plusieurs reprises pendant mon séjour sur Grand Cayman, la principale des trois petites îles qui forment les îles Caïmans. On pourrait rectifier en disant que ceux qui ont passé leur vie ici sont plus rares qu’ailleurs et que leurs familles sont là depuis un peu moins de trois siècles, tout au plus.

L’hôtel Kimpton Seafire à Grand Cayman.
Photo courtoisie
L’hôtel Kimpton Seafire à Grand Cayman.

Grottes à visiter

Mais il y a bien des natifs aux îles. C’est le cas de Donovan, guide aux Crystal Caves, des grottes nichées sous la forêt de Grand Cayman. Devant le groupe de visiteurs en excursion, il parle avec passion des grottes qui ont été pendant son enfance le plus beau des terrains de jeux. Si la visite permet d’en découvrir trois, toutes impressionnantes, Donovan assure qu’on en trouve plus de 100 sur l’île et que, bientôt, la visite permettra d’en découvrir davantage.

Crystal Caves, Grand Cayman.
Photo courtoisie
Crystal Caves, Grand Cayman.

Ouvertes au public depuis 2016 seulement, les grottes de Grand Cayman sont un peu le signe du développement que connaît la destination. Avec l’auto de location, en roulant par la gauche (après tout, le territoire appartient au Royaume-Uni) sur l’île de 197 km2, nous croisons plusieurs chantiers. « C’est que l’île n’est pas terminée », m’expliquera plus tard Marlena Rylska, directrice service traiteur et groupes à l’hôtel Kimpton Seafire Resort and Spa, ouvert lui aussi en 2016, et situé à côté d’un espace vacant qui deviendra bientôt une grande place des festivals.

Polonaise ayant grandi à Toronto et Montréal avant d’atterrir à Grand Cayman au début de 2018, Marlena se plaît dans sa nouvelle vie. « Il est facile de se faire des amis ici, puisque tout le monde est nouveau : il y a au sein du personnel de l’hôtel plus de 60 nationalités. Sur l’île, on raconte que c’est plus de 100. »

Le quartier Camana Bay dans la capitale des îles Caïmans, George Town.
Photo courtoisie
Le quartier Camana Bay dans la capitale des îles Caïmans, George Town.

Parce qu’on n’y paie ni taxes ni impôts, les îles Caïmans attirent plusieurs entreprises et particuliers étrangers, ceux qu’on appelle « les expats ». Bien sûr, ils sont en prime séduits par la magnificence des lieux.

Pour en savoir plus :

  • Air Canada et WestJet offrent des vols réguliers vers Grand Cayman à partir de Toronto.
  • D’octobre à mai, la météo est parfaite, mais les prix sont plus élevés, alors que de juin à septembre, les prix baissent, mais la chaleur peut être accablante.
  • Pour l’été et l’automne, la destination offre des rabais pour les Canadiens.
  • Pour plus d’infos : www.visitcaymanislands.com (ce voyage a été rendu possible grâce à Visit Cayman Islands).
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