Pas de cas documenté de prosélytisme, selon la CSQ
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La CSQ estime que le gouvernement instrumentalise la laïcité de l’État à des fins politiques et partisanes. Le plus grand syndicat d’enseignement est venu dire hier au ministre Simon Jolin-Barrette que les professeurs ne devraient pas être visés par l’interdiction des signes religieux. « Des problèmes, il n’y en a pas, a plaidé la présidente, Sonia Éthier. On ne recense aucun cas documenté de prosélytisme actif provenant d’enseignants portant des signes religieux dans une école publique. » Selon un sondage effectué auprès des commissions scolaires, une seule plainte aurait été déposée depuis 2016, qui s’est réglée rapidement, a-t-elle insisté.