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COVID-19: l’animatrice Geneviève Pettersen appelle son grand-père et c’est très touchant

L'animatrice Geneviève Pettersen
L'animatrice Geneviève Pettersen Frédérick Muckle


Suivant les recommandations du premier ministre François Legault, qui a souligné l’importance de téléphoner aux aînés en cette période de confinement, l’animatrice Geneviève Pettersen a décidé d’appeler son grand-père pendant son émission.  

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«Je plaide coupable. Je n’appelle pas assez le seul grand-parent qui me reste», a dit l’animatrice lors de son émission Les Effrontées.       

Gérard Boivin, 87 ans, demeure à Saint-François-de-Sales, une municipalité du Saguenay–Lac-Saint-Jean. Il a expliqué à sa petite-fille «qu’il faut écouter tous les conseils» de François Legault et du Dr Horacio Arruda.       

«Vu que [la pandémie] empirait, je me suis mis à écouter ça [le point de presse], parce qu’il faut écouter tous les conseils que le premier ministre donne et le médecin. Par contre, ce que je déplore le plus, c’est qu’il y en a beaucoup qui se croient au-dessus de ça et ils ne font pas ce qu’il faut faire.»       

Quand elle lui a demandé si la COVID-19 lui faisait peur, M. Boivin a dit se sentir «en sécurité pareil».       

«J’ai confiance en tous ceux qui nous donnent des conseils. On n'a [...] qu’à écouter. Ce qui me déplaît le plus, c’est ceux qui n’écoutent pas [...] ça me dépasse», a-t-il ajouté.           

  • ÉCOUTEZ l’entrevue de Gérard Boivin sur QUB radio:   

Rosaire Pelletier, 91 ans  

Poursuivant sa tournée téléphonique afin de prendre des nouvelles de nos personnes âgées, Geneviève Pettersen s’est entretenue avec Rosaire Pelletier, 91 ans, qui demeure à la résidence Saint-Jude d’Alma, où aucun cas de COVID-19 n’a encore été déclaré.       

Ancien journaliste, M. Pelletier a expliqué ne pas être «complètement confiné» dans sa résidence, où il participe à l’écriture d’un journal maison.       

«Nous avons un petit journal mensuel auquel je collabore beaucoup. Je fais des entrevues avec le personnel.»       

Pour ce qui est de la solitude, il dit avoir la chance de pouvoir partager ses repas avec d’autres résidents dans la salle à manger commune et avoir «recours au téléphone» pour appeler ses proches.       

«Le moyen classique dont on dispose pour voir si la vie continue [...] J’ai hâte, par contre, qu’il fasse assez beau pour aller prendre de l’air sur mon balcon», a ajouté M. Pelletier.           

  • ÉCOUTEZ l’entrevue de Rosaire Pelletier sur QUB radio:   

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