[QUIZ] Sauriez-vous reconnaître ces espèces de poissons?
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Tous les spécimens qui nagent dans nos lacs et nos rivières ont des signes et des traits distinctifs qui les différencient les uns des autres. Je vous propose aujourd’hui de tenter de reconnaître 10 espèces de poissons à partir de certaines de leurs parties anatomiques.
Le gibier au rendez-vous
Les déplacements interrégionaux étaient fortement déconseillés l’automne dernier afin de freiner la propagation du satané virus. Il était en outre interdit aux habitants des zones rouges de se réunir, et encore moins de le faire dans les zones orange, dans des unités d’hébergement, et ce, même en forêt. Bref, on connaît l’histoire et cela en a découragé plusieurs. Malgré tout, l’activité de prélèvement tombait à point pour se changer les idées ainsi que le moral et plusieurs pouvaient s’y adonner à proximité de leur résidence.
Orignal
Le roi de la forêt demeure encore et toujours l’espèce la plus populaire parmi les grands mammifères. Pas moins de 170 136 adeptes se sont procuré un permis l’automne dernier. En cette année paire, où la récolte des femelles n’était pas permise, les chasseurs ont déjoué 20 031 bêtes, comparativement à 19 860 en 2018 et à 21 879 en 2016. Rappelons que ces chiffres s’élèvent jusqu’à 27 672 lors des saisons sans restriction.
Chevreuil
Le fantôme de l’arrière-pays a fait vibrer 136 413 passionnés cette année. Près de 30 % des détenteurs de permis ont intercepté un cerf. Des 48 907 bêtes prélevées, 13 596 étaient des femelles, 29 536 des mâles et 5000 veaux. Parmi les 21 411 personnes qui ont acquis une deuxième licence, il y en a 13 % qui ont été chanceux. Il s’agit d’une bonne récolte totale comparativement à 2019 avec 47 600 captures. On est toutefois loin des résultats de 2017 et 2018 avec près de 54 000 cervidés enregistrés.
Ours noir
Cette espèce attire normalement de nombreux amateurs non résidents. Avec les conditions sanitaires qui prévalaient le printemps dernier, ce sont presque exclusivement des Québécois qui ont récolté des ursidés. Les statistiques nous apprennent que 4797 gloutons ont été principalement prélevés lors de la chasse printanière et près de 900 par des piégeurs. Bon an mal an, depuis 2016, les sportifs attrapent entre 5299 et 6626 ours.
Dindon sauvage
Avec un succès de récolte de 36 %, la chasse printanière à ces gallinacés s’avère la plus productive. Les 17 689 acquéreurs de permis ont déjoué la vigilance de 9000 oiseaux le printemps dernier, comparativement à 8024 en 2019. La chasse automnale, pour sa part, est loin d’avoir connu un grand engouement avec seulement 4654 achats de licences et un prélèvement total de 881 dindes.
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