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Patrick Roy n’a plus d’agent: il a rompu avec Neil Glasberg

MOSAÏQUE COACH CANADIENS
Photo d'archives, Stevens LeBlanc Patrick Roy, que l’on voit ici en point de presse, assure qu’il demeurera à l’écoute si une opportunité se présente avec une formation du circuit Bettman.

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L’association entre Patrick Roy et l’agent Neil Glasberg n’aura duré que quelques mois. Roy a mis un terme à la relation professionnelle entre les deux hommes, ce qui ne signifie toutefois pas qu’il met une croix sur ses aspirations de faire, un jour, un retour dans la Ligue nationale de hockey, jure-t-il.

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La nouvelle était un peu passée sous le radar. En fait, Roy a contacté Glasberg au début du mois de décembre dernier pour lui mentionner qu’il préférait continuer ses démarches sans l’aide d’un agent.

Cette décision est donc survenue avant le processus d’embauche d’un directeur général par le Canadien de Montréal, auquel il a participé. Il avait fait partie des 11 candidats rencontrés par Jeff Gorton et ce dernier avait finalement opté pour Kent Hughes.

« J’ai eu une réflexion par rapport à ça en décembre, avant de rencontrer le Canadien. Avoir un agent, c’est un choix personnel. Je ne ressentais pas le besoin d’avoir un agent à cette période-ci, mais ça ne change rien à mes intentions futures », a-t-il expliqué, mardi matin, au terme de la séance d’activation matinale des Remparts.

Neil Glasberg
Photo d'archives, AFP
Neil Glasberg

Rappelons que Roy avait accepté de travailler avec Glasberg en avril dernier, après que ce dernier eut offert ses services au membre du Temple de la renommée du hockey. Le Montréalais se spécialise dans la représentation des dirigeants dans le sport. Il gère notamment la carrière de l’entraîneur-chef des Penguins de Pittsburgh, Mike Sullivan, et de celui des Rangers de New York, Gerard Gallant.

TOUJOURS À L’ÉCOUTE

Cette nouvelle, donc, ne change rien à ses plans. Pas plus que la nouvelle de l’embauche de Martin St-Louis à titre d’entraîneur-chef du Tricolore, poste qu’il convoitait également, mais pour lequel le téléphone n’a jamais sonné.

« Je vais toujours écouter. Cependant, je réalise que l’étau se resserre sur moi en raison de mon âge et tout », reconnaît l’homme de 56 ans.

Comme il l’a souvent mentionné, toutefois, il ne cherche pas à tout prix à retourner dans la LNH. Si une offre survient, qu’elle provienne de Montréal ou Columbus, il prendra le temps de l’étudier.

« Chaque situation vient avec son contexte. Écouter, ça fait partie du processus. Si quelque chose m’est présenté et tombe à point, on verra. Pour l’instant, j’aime où je suis et j’aime ce que je fais. Je ne suis à la recherche de rien. » 

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