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De moins en moins de logements vides au Canada

De moins en moins de logements vides au Canada
Joël Lemay / Agence QMI


Le pourcentage de logements «inoccupés», c'est-à-dire qui ne sont pas occupés par des résidents habituels, a chuté à l'échelle nationale pour la première fois en 20 ans, selon une nouvelle étude de Point2Homes. 

Le rapport, qui utilise des données de Statistique Canada, montre que les taux d'inoccupation ont diminué dans 87 des 150 villes les plus peuplées du Canada au cours des 10 dernières années.

Au Québec, cinq villes ont enregistré une diminution particulièrement importante de leur taux d'inoccupation, allant de 50 à 29% à Drummondville, à Saint-Georges, à Blainville, à Repentigny et à Mascouche.

Au contraire, les villes de Lévis, de Victoriaville, de Québec, de Boucherville et de Saguenay ont observé une hausse du taux d'inoccupation. Elles n'ont toutefois pas dépassé Montréal, qui a enregistré le plus grand nombre de logements inoccupés, et ce, malgré la crise du logement actuelle. En 2021, plus de 62 204 logements y étaient vides.

Selon Statistique Canada, les maisons occupées par des étudiants universitaires ou collégiaux sont considérées comme vides, car l'agence définit la «résidence habituelle» des étudiants comme la maison de leurs parents.







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