Avis de grève à la STLévis: le maire ne veut pas que les usagers soient «pris en otage»
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Le maire de Lévis continue d'espérer un dénouement positif aux négociations avec les chauffeurs de la STLévis, qui ont émis un avis de grève, et leur demande de ne pas nuire aux usagers.
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«On demande à nos chauffeurs de s’assurer que nos usagers ne seront pas pris en otage», a soutenu le maire de Lévis, Gilles Lehouillier, mardi.
Les parties sont toujours à la table de négociation et le maire espère que les pourparlers permettront de dénouer l'impasse.
La Ville de Lévis et sa société de transport sont confrontées à un avis de grève prenant effet lundi prochain.
La STLévis n'est pas soumise à l'obligation de fournir les services essentiels, ce qui implique qu'en cas de grève, le service est suspendu.
Le vice-président de la STLévis, Michel Patry, croisé à l'hôtel de ville, s'est dit surpris de cette stratégie adoptée par le syndicat des chauffeurs, alors que la négociation est encore en cours et que les parties sont en médiation.
Le maire Lehouillier reconnaît que les possibilités d'action de la Ville sont limitées en cas de grève des chauffeurs.
Mais il assure qu'«on va faire tout ce qui est possible d'être fait».
Le premier élu de Lévis souhaite une entente dans la «capacité de payer des contribuables».
