Pour la survie du Québec, débarrassez-nous des caquistes!
Parent

La consolidation de notre identité nationale n’est pas une priorité pour la CAQ.
La mollesse dont fait preuve le premier ministre caquiste devant les ambitions d’immigration de Justin Trudeau est en voie d’en faire le fossoyeur de la nation québécoise.
Les autonomistes caquistes n’ont arraché aucun nouveau pouvoir au gouvernement Trudeau et ont échoué à augmenter les transferts fédéraux. Le nationalisme de la CAQ s’est étiolé dans une docilité déconcertante face au fédéral.
Ce ne sont pas non plus les lois sur la langue et sur la laïcité qui confortent notre identité.
Immigrer au pays
Je doute aussi de la ministre québécoise de l’Immigration, Christine Fréchette, lorsqu’elle affirme que la province ne se laissera pas faire. Sans plus de pouvoir sur la sélection et l’intégration des nouveaux arrivants, elle est impuissante.
La nation québécoise est condamnée à disparaître en demeurant au sein du Canada, un pays où l’intégration se fait avant tout dans la langue de Shakespeare.
Certains voudraient faire porter le poids de notre assimilation aux immigrants. C’est erroné, car les Québécois sont les premiers responsables en refusant d’assumer leur destin.
La survie de notre société distincte passe essentiellement par l’indépendance.
La fierté
La CAQ n’a pas montré d’appétit pour notre émancipation, au contraire, elle contribue à un plus grand asservissement au fédéralisme et au grand capital.
Loco Locass chantait « Libérez-nous des libéraux ». Il est temps de reprendre le refrain avec les caquistes, car le temps presse. Jacques Parizeau et Pierre Karl Péladeau l’ont dit à leur manière que l’indépendance n’est pas la préoccupation prioritaire des nouveaux arrivants.
Ce sont les habitants de longue date qui sont les plus susceptibles de favoriser sa réalisation. Il faut s’y mettre en quête maintenant pour qu’un jour ce soit au pays du Québec que les immigrants arrivent.
À défaut, nous serons noyés dans un flot d’immigration au Canada !