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L’art de se débrouiller avec les moyens du bord



Mon message se veut rassurant pour toutes les personnes qui vivent le malheur de perdre leur médecin de famille. Le mien a pris sa retraite après 50 ans de loyaux services sans me référer à aucun autre médecin. Je suis présentement sur une liste d’attente, mais aucun ne se pointe à l’horizon jusqu’à maintenant.

Heureusement, je vis dans une résidence pour personnes âgées qui, pour ne pas la nommer, est un vrai château. Ici nous avons accès à une pharmacie dans l’immeuble et c’est une véritable bénédiction. Aucun médecin ne pourrait me traiter aussi bien que le pharmacien qui, en passant, ne fait pas passer ma carte sur la machine à chaque fois qu’il me donne un conseil.

En fonction de mon expérience personnelle présente, je me permets de dire qu’un pharmacien peut nous traiter aussi bien qu’un médecin, et que leurs conseils sont toujours à point pour nous rassurer. Aucun sujet concernant la santé ne rebute le mien et il ne me fait jamais attendre longtemps pour me donner une réponse.

Une personne entièrement satisfaite de son pharmacien

Je pense que les deux disciplines sont nécessaires et complémentaires pour assurer la santé des Québécois, et qu’effectivement on n’a pas toujours le réflexe d’avoir recours aux services de notre pharmacien comme on le devrait.







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