Alexandre Bilodeau

Le travail a été fait pour offrir la meilleure performance de ma saison à Sotchi. Maintenant, le reste dépend de facteurs que je ne peux pas maîtriser

Ce sera une autre fin de semaine de «dernières» pour moi: dernière épreuve avant les Jeux olympiques, mais surtout dernière épreuve en carrière au Québec.

L’année est encore jeune, mais c’est déjà le temps de l’attaquer avec la Coupe du monde à Calgary de demain.

Je reviens d’un séjour de plus de deux semaines à Ruka, dans le nord de la Finlande, ce qui m’a permis de m’imprégner un peu de l’esprit de Noël et du temps des Fêtes.

Enfin, c’est le temps que ça commence! La première course de ma dernière saison en carrière est arrivée.

Ce sont mes derniers Jeux olympiques et je suis content que ma famille s'offre la dernière chance d'y assister.

Je suis arrivé en Finlande en prévision du lancement de la Coupe du monde de ski acrobatique et j’avais hâte. Je commençais à en avoir assez de lever des poids et des haltères!

J’aurai un souci en tête quand s’amorcera ma saison en Coupe du monde, le 14 décembre, en Finlande: réussir mon examen final d’université à mon retour.

L’avenir nous dira si Denis Coderre est le maire qui pourra relancer Montréal.

C'est voulu ainsi: mon mois de novembre s'annonce tranquille.

Si notre famille continue de combattre pour venir en aide aux personnes atteintes de paralysie cérébrale, ça permet du même coup de ramener mon frère Frédéric à l’avant-scène.

J’ai remporté une médaille d’or aux Jeux de Vancouver, mais je n’y suis pas arrivé seul.